Une Ode à la Résistance.
Sarab, mirage en arabe, mêle cirque et théâtre pour mettre en lumière la détresse des réfugié·es du monde entier. Sept artistes palestinien·nes y reflètent leur propre histoire afin de dénoncer l’injustice vécue dans leur pays ou ailleurs.
« Nous sommes forcé·es. Nous n’avons pas d’autres options. Entraîné·es vers une fin incertaine, sur une route semée d’embûches et de checkpoints que nous pouvions à peine franchir. Notre destinée est incertaine. Au cours de ce long et rude voyage, nous avons continué de rêver du moment où nous arriverions, poursuivant notre chemin vers l’inconnu.
Enfin, nous arrivons. Avons-nous atteint notre but ? Après avoir flotté sur la terre et les océans, nous découvrons l’inattendu. Ce n’était rien d’autre qu’un mirage. »
À travers la création de spectacles et l’accompagnement de nouveaux et nouvelles artistes, la Palestinian Circus School alimente la scène culturelle de Palestine tout en permettant aux jeunes de trouver leur voie créative.
5 € par place achetée sont reversés à BASR – Béthléem Arab Society for Rehabilitation, hôpital de revalidation et d'inclusion des personnes handicapées.
REPAS PALESTINIEN
Avant le spectacle
→ organisé par l'Association Belgo Palestinienne (ABP)
→ 18h, bar de la maison
→ 12 €, sur inscription : billetterie@maisonculturetournai.com
Les bénéfices du repas sont àdestination de la Palestinian CircusSchool.
Représentations
Représentation(s) publique(s)
APRÈS LE SPECTACLE
BORD DE SCÈNE avec l'ABP et Présences et Actions Culturelles (PAC).
Directeur artistique : Mohammad Abu Taleb - Avec Julia Rafidi, Mais Rafidi, Mohamad Najim, Nouraldin Samaro, Wajdi Khalid - Technicien : Alaa Jayousi - Costumes : Asma Anabtawi - Musique : Mohammad Azzeh - En collaboration avec PAC - Présence et Action culturelle, un mouvement d’Éducation permanente et populaire reconnu par le Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie-Bruxelles et la Palestinian Circus School
« Un décor minimaliste fait de caisses en bois. Les sept artistes les bougent à la force des bras. Pas un mot, mais un langage corporel qui parle. (…) Un spectacle intense qui illustre le sort de tous les réfugiés dans le monde. (…) Une prestation qui s'accompagne de chants d'espoir...» - Vinciane Votron, RTBF