Quand sait-on que c’est la dernière fois ?
Généralement, la première, on s’en souvient. Mais la dernière ?
Après nous avoir amusé·es et touché·es avec Six pieds sur terre et Rage dedans, Jean-Luc Piraux poursuit et approfondit son exploration tragicomique de nos existences.
Pour ce seul en scène, il puise dans ses souvenirs : les joies de l’enfance, des jobs improbables, sans oublier les chemins de traverse qui l’ont conduit sur les planches… Au fil de la pièce, il creuse en lui et en nous, à la recherche de nos pépites, de nos errances et de nos silences.
Avec sa grande tendresse, son naturel comique, ses moments de panache et la poésie désarmante qu’on lui connaît, ce grand clown inquiet nous invite à prendre le temps de ralentir et à regarder la beauté des choses.
« Jean-Luc Piraux vagabonde avec intelligence et délicatesse sur la ligne capricieuse du temps, tel une ode à la vie mais aussi un défi à la mort. » - Stéphanie Bocart, La Libre
« En clown faussement désabusé, c’est avec un rire tendre et lumineux qu’il aborde les situations les plus sombres. » - François Caudron, RTBF
Avec l'aide des Tournées Art et Vie
Bord de scène
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Représentations
Représentation(s) publique(s)
De et avec : Jean-Luc Piraux - Mise en scène : Natacha Belova - Regards extérieurs et dramaturgie : Didier de Neck, Coline Fouquet, Jean-Pol Fréhisse et Anne-Marie Loop - Création musicale : Alice Hebborn - Création lumières : Marc Defrise - Production, administration, diffusion et regard extérieur : Brigitte Petit - Coproductions : Théâtre Pépite, Le Vilar, maison de la culture de Tournai, Maison de la Culture Famenne Ardenne, Centre Culturel de Dinant, Centre Culturel de Huy, Centre Culturel de Mouscron et DC&J Création - Soutiens : Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la Création artistique - Théâtre Adulte, Inver Tax Shelter et Tax Shelter du Gouvernement fédéral belge - theatrepepite.be
« Au bout des planches procède d’une douceur et d’une tendresse irrésistibles. On ne peut qu’être touchée quand le comédien s’essaye à la disparition, se calant dans les recoins sombres du plateau. Ou quand il compare son corps aux fléaux environnementaux : son crâne en perte de cheveux, c’est la déforestation. Les taches de vieillesse sur sa peau, une vraie marée noire. L’affaissement de la calotte glaciaire rappelle ses abdos qui lâchent inéluctablement. Malgré tout, ironise-t-il, il y a une vie avant la mort. » - Catherine Makereel, Le Soir
« Depuis de nombreuses années, Jean-Luc Piraux jongle avec les paradoxes, toujours en équilibre sur le fil de la tragicomédie. En clown faussement désabusé, c’est avec un rire tendre et lumineux qu’il aborde les situations les plus sombres. » - François Caudron, RTBF
« Mourir ! Oui, mais quand ? C’est énervant de ne pas savoir quand c’est sa dernière fois ! Dans son nouveau seul-en-scène, Au bout des planches, Jean-Luc Piraux digresse avec humour et tendresse autour de la mort, dont personne ne sait prédire quand elle adviendra. Un spectacle délicat à découvrir sans tarder. » - Stéphanie Bocart, La Libre
« (…) dans Au bout des planches, Jean-Luc Piraux vagabonde avec intelligence et délicatesse sur la ligne capricieuse du temps, tel une ode à la vie mais aussi un défi à la mort. » - Stéphanie Bocart, La Libre